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Parki-Parka : un mois à la baie d'Hudson

Accession number: 
1951.0064
Production Years: 
1951

Languages:

Film Properties: 
Length (minutes): 
25
Holding Institutions: 

Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Centre d'archives de Québec, Québec: 16mm.
"Départ de missionnaires du port de Montréal à bord du navire Régina Polaris pour une longue aventure dans le Grand Nord canadien. Du premier au dernier arrêt, Cape Dorset à Churchill, nous visitons les villages inuit et en apprenons un peu plus sur les us et coutumes de ces gens isolés."

Bibliothèque du Cégep de Trois-Rivières, Québec: VHS.
"En compagnie d'un missionnaire oblat, Mgr Tessier filme le voyage du Regina Polaris, qui, parti de Montréal, ravitaille les missions oblates du Grand Nord canadien, de Dorset sur l'île de Baffin à Churchill au Manitoba. Le document illustre le mode de vie traditionnel des Inuit et évoque le travail des missionnaires."

Bibliography: 

Gouvernement du Québec: Ministère des Communications, Direction générale du cinéma et de l’audiovisuel, Catalogue des films d’archives, volume 1 (Québec: Éditeur officiel du Québec, 1976), 90-91.
"Reportage photographique d'une grande beauté qui relate le voyage annuel du Regina Polaris vers les missions isolées de la Baie d'Hudson. Nous suivons le bateau depuis son départ de Montréal. Au passage les silhouettes de Trois-Rivières et de Québec se découpent sur le beau ciel laurentien. Le navire descend le fleuve, s'engage dans le détroit de Belle-Île, longe la côte du Labrador, baptisée par Cartier : terre de Caïn. Nous voilà à l'entrée du détroit d'Hudson, si redouté des marins. Le Regina Polaris, après bien des difficultés et des heures d'angoisse, alors que les banquises se rapprochent dangereusement de ses flancs, sort du détroit et se dirige vers sa première escale : Cap Dorset. Sur cette terre stérile, où aucune végétation ne pousse, la vue des Eskimos offre un étrange spectacle. Toute la tribu est venue à la rencontre du navire. Monseigneur Lacroix visite ses ouailles, peu nombreuses, distribue des friandises à tous. Puis le navire se dirige vers Chesterfield. À son entrée dans la rade, un avion l'escorte. Monseigneur Lacroix, à son arrivée, administre les sacrements de confirmation. Par avion, les voyageurs font escale à Pointe-Eskimo. Le navire reprend la mer en direction de Churchill, dernière étape du voyage. Churchill, ville épiscopale de Monseigneur Lacroix a un port magnifiquement aménagé ; le Regina Polarix y laisse toute sa cargaison et dit adieu à ses amis de l'Arctique qu'il reverra dans un an."

Service de ciné-photographie de la province de Québec, Films 16mm: édition 1956-57 (Quebec City: Service de ciné-photographie, 1956): 254.
"Reportage photographique d'une grande beauté qui relate le voyage annuel du Regina Polaris vers les missions isolées de la Baie d'Hudson. Nous suivons le bateau depuis son départ de Montréal. Au passage les silhouettes de Trois-Rivières et de Québec se découpent sur le beau ciel laurentien. Le navire descend le fleuve, s'engage dans le détroit de Belle-Île, longe la côte du Labrador, baptisée par Cartier : terre de Caïn. Nous voilà à l'entrée du détroit d'Hudson, si redouté des marins. Le Regina Polaris, après bien des difficultés et des heures d'angoisse, alors que les banquises se rapprochent dangereusement de ses flancs, sort du détroit et se dirige vers sa première escale : Cap Dorset. Sur cette terre stérile, où aucune végétation ne pousse, la vue des Eskimos offre un étrange spectacle. Toute la tribu est venue à la rencontre du navire. Monseigneur Lacroix visite ses ouailles, peu nombreuses, distribue des friandises à tous. Puis le navire se dirige vers Chesterfield. À son entrée dans la rade, un avion l'escorte. Monseigneur Lacroix, à son arrivée, administre les sacrements de confirmation. Par avion, les voyageurs font escale à Pointe-Eskimo. Le navire reprend la mer en direction de Churchill, dernière étape du voyage. Churchill, ville épiscopale de Monseigneur Lacroix a un port magnifiquement aménagé ; le Regina Polarix y laisse toute sa cargaison et dit adieu à ses amis de l'Arctique qu'il reverra dans un an."