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Le Lin du Canada, première partie : la culture du lin

Accession number: 
1947.0041
Alternate Titles: 
Le
Lin du Canada (Culture)
Alternate title
Production Years: 
1947

Languages:

Film Properties: 
Length (meters): 
224 (16mm)
Length (minutes): 
21
Holding Institutions: 

Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Centre d'archives de Québec, Québec: 16mm, DVD, betacam.
"La culture du lin, longue et compliquée, exige des précautions et des soins incessants. Ce document décrit les différentes étapes de cette culture, depuis le travail et la fertilisation du sol jusqu'à l'arrachage, le rouissage, le brayage, l'engerbage, le rouissage et, finalement l'expédition à l'usine."

Bibliography: 

Service de ciné-photographie de la province de Québec, Films 16mm: édition 1956-57 (Quebec City: Service de ciné-photographie, 1956), 329.
"La culture du lin, longue et compliquée, demande des précautions et des soins incessants. Un sol fertile mais surtout bien travaillé, une graine nettoyée et désinfectée, une distribution égale dans la semence, des engrais chimiques. Si les conditions climatiques sont favorables, le lin lève en quelques jours. Il faut exercer un contrôle vigilant sur les plantes parasites qui peuvent ruiner des récoltes entières.
L'arrachage, le rouissage, le broyage exigent une manipulation experte. Toute négligence peut occasionner des pertes. La plus grande partie de ces travaux se fait maintenant à la machine. La lieuse mécanique a vite résolu le problème de l'engerbage et, aussitôt faites, les gerbes sont enlevées et entassées dans des réservoirs. Quand le rouissage est à point et la fibre détachée, le lin est reporté sur le champ pour le séchage d'où il sera expédié à l'usine de lin."

Antoine Pelletier, Collection Maurice Proulx : Catalogue, Direction générale du cinéma et de l'audiovisuel (Quebec City: Éditeur officiel du Québec, 1978), 25.
"La culture du lin, longue et compliquée, demande des précautions et des soins incessants. Un sol fertile mais surtout bien travaillé, une graine nettoyée et désinfectée, une distribution égale dans la semence, des engrais chimiques. Si les conditions climatiques sont favorables, le lin lève en quelques jours. Il faut exercer un contrôle vigilant sur les plantes parasites qui peuvent ruiner des récoltes entières.
L'arrachage, le rouissage, le broyage exigent une manipulation experte. Toute négligence peut occasionner des pertes. La plus grande partie de ces travaux se fait maintenant à la machine. La lieuse mécanique a vite résolu le problème de l'engerbage et, aussitôt faites, les gerbes sont enlevées et entassées dans des réservoirs. Quand le rouissage est à point et la fibre détachée, le lin est reporté sur le champ pour le séchage d'où il sera expédié à l'usine de lin.
Catalogue des films 16mm, Service de Ciné-photographie de l'Office provincial de publicité-Québec, éd. 1956-57, p. 329."

Gouvernement du Québec: Ministère des Communications, Direction générale du cinéma et de l’audiovisuel, Catalogue des films d’archives, volume 2 (Québec: Éditeur officiel du Québec, 1978), 68-69.
"La culture du lin, longue et compliquée, demande des précautions et des soins incessants. Un sol fertile mais surtout bien travaillé, une graine nettoyée et désinfectée, une distribution égale dans la semence, des engrais chimiques. Si les conditions climatiques sont favorables, le lin lève en quelques jours. Il faut exercer un contrôle vigilant sur les plantes parasites qui peuvent ruiner des récoltes entières. L'arrachage, le rouissage, le broyage exigent une manipulation experte. Toute négligence peut occasionner des pertes. La plus grande partie de ces travaux se fait maintenant à la machine. La lieuse mécanique a vite résolu le problème de l'engerbage et, aussitôt faites, les gerbes sont enlevées et entassées dans des réservoirs. Quand le rouissage est à point et la fibre détachée, le lin est reporté sur le champ pour le séchage d'où il sera expédié à l'usine de lin."